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vendredi 24 novembre 2017
“عين المسيح العجائبية” في كوكبا.. معلم للسياحة الدينية؟ – موقع هوا لبنان
jeudi 23 novembre 2017
LIBAN SAINTS, RITUELS ET LIEUX DE CULTE PARTAGÉS
Au Liban, ainsi que dans de nombreux pays orientaux, le culte des saints draine, aujourd’hui comme hier, l’essentiel des dévotions aussi bien chrétiennes que musulmanes et nourrit un dialogue interreligieux naturel.
Par Nour Farra-Haddadanthropologue du religieux, Université Saint-Joseph de Beyrouth, AUST, UL
http://www.mondedelabible.com/liban-saints-rituels-et-lieux-de-culte-partages/
mercredi 15 novembre 2017
vendredi 10 novembre 2017
Vers une rencontre entre le Patriarche d’Antioche des Maronites et le Premier Ministre libanais démissionnaire lors de son voyage en Arabie Saoudite
LIBAN - Vers une rencontre entre le Patriarche d'Antioche des Maronites et le Premier Ministre libanais démissionnaire lors de son voyage en Arabie Saoudite |
Bkerkè (Agence Fides) – Le Patriarche d'Antioche des Maronites, S.Em. le Cardinal Bechara Boutros Rai, se rendra en Arabie Saoudite, répondant ainsi à l'invitation des autorités locales et pourra rencontrer à cette occasion le Premier Ministre libanais démissionnaire, Saad Hariri, qui a rendu publique sa décision le 4 novembre alors qu'il se trouvait à Riyad. Les sources officielles du Patriarcat maronite ont confirmé que la visite patriarcale devrait avoir lieu la semaine prochaine, probablement le 13 novembre. La confirmation de la visite est arrivée après la rencontre entre le Patriarche et le Président libanais, Michel Aoun, intervenue au Palais présidentiel dans l'après-midi du 9 novembre. Au cours de leur entretien, le Chef de l'Etat et le Patriarche d'Antioche des Maronites ont confirmé leurs intentions communes visant à garantir l'unité nationale et à empêcher que le Liban ne soit emporté par le repositionnement des axes de force régionaux qui opposent l'Arabie Saoudite à l'Iran. Selon le porte-parole du Patriarcat maronite, la visite du Patriarche se concentrera sur les thèmes du dialogue, du refus du terrorisme et de l'extrémisme et portera également sur la condition des travailleurs libanais résidant en Arabie Saoudite, qui, selon les données du Ministère des Affaires étrangères libanais, seraient au nombre de quelques 300.000. L'invitation officielle à visiter l'Arabie Saoudite et à rencontrer le Roi Salman et le Prince héritier, Mohamed bin Salman, avait été remise au Cardinal par le chargé d'affaires de l'Ambassade saoudienne à Beyrouth, Walid Bukhari, mercredi dernier, 1er novembre (voir Fides 03/11/2017). « La visite en tant que telle – avait déclaré à ce propos à l'Agence Fides S.Exc. Mgr Camillo Ballin MCCJ, Vicaire apostolique pour l'Arabie septentrionale – pourrait signer le début d'une nouvelle attitude de l'Arabie Saoudite envers les autres religions ». Par le passé, seul le Patriarche grec orthodoxe d'Antioche, Elias IV, avait visité officiellement l'Arabie Saoudite, en 1975. Le Patriarche d'Antioche des Maronites, qui est également membre du Sacré Collège, pourrait ainsi devenir le premier Cardinal à visiter officiellement l'Arabie Saoudite pour y rencontrer les autorités du pays. Entre temps, la démission du Premier Ministre libanais a accentué la valeur politique et géopolitique de la visite patriarcale. Au Liban, monte la polémique autour des hypothèses selon lesquelles Saad Hariri ne serait pas libre de quitter l'Arabie Saoudite ou se trouverait même en résidence surveillée à Riyad, accusé de connivences avec une présumée tentative de coup d'Etat attribuée aux personnalités saoudiennes incarcérées et politiquement éliminées à la demande du Prince héritier, Mohammed Bin Salman. Selon les déclarations du porte-parole patriarcal, le Patriarche d'Antioche des Maronites transmettra aux fonctionnaires saoudiens le message selon lequel « le Liban ne devrait pas devenir un terrain d'affrontement » entre puissances régionales. Officiellement, le Président Aoun n'a pas accepté la démission du Premier Ministre, Saad Hariri, rendue publique dans le cadre d'une intervention télévisée de ce dernier sur la chaîne Al Arabiya. Le Liban – a ajouté le porte-parole du Patriarcat maronite, exprimant la pensée du Patriarche – « doit se tenir en dehors des conflits et des axes régionaux et chercher à être une oasis de paix, de stabilité et de dialogue, dans laquelle différentes cultures et religions coexistent et interagissent au sein de la société civile ». (GV) (Agence Fides 10/11/2017) |
- Nouvelles menaces djihadistes à l’encontre des coptes
EGYPTE - Nouvelles menaces djihadistes à l'encontre des coptes, à éliminer en tant que responsables de la construction d'églises, d'évangélisation et de non respect de la charia |
Le Caire (Agence Fides) – Les coptes en Egypte n'acceptent pas la condition de soumission imposée aux chrétiens dans les sociétés islamiques. Ils continuent à construire des églises et même à promouvoir des chaînes de télévision pour diffuser le message chrétien. C'est pourquoi ils doivent être frappés en tant qu'infidèles combattants et leurs églises faites exploser. Tel est, en synthèse, le message d'instigation à la violence à l'encontre des coptes égyptiens contenu dans un dossier diffusé ces jours derniers par la Fondation Wafa Media, organe de propagande djihadiste considérée comme affiliée au réseau du prétendu « Etat islamique ». Au cours de la seule année 2017, le terrorisme djihadiste a perpétré trois massacres de chrétiens coptes outre différents assassinats. Le 9 avril, Dimanche des Rameaux, les attentats contre deux églises coptes – l'une de la région de Tanta et l'autre à Alexandrie – ont fait 45 morts et plus de 130 blessés. Le 26 mai, une attaque terroriste contre un autobus de pèlerins dans le gouvernorat de Minya a porté à la mort de 28 coptes. (GV) (Agence Fides 10/11/2017) |
PATRIMOINE -La voie romaine de la cité de Tyr n’est pas une rue... mais une salle basilicale
La voie romaine est en réalité une salle basilicale, qui avait les fonctions d'un frigidarium et d'un centre de sociabilité.
Le ministère du Tourisme a intérêt à mettre à jour ses brochures et intégrer les nouvelles données historiques sur la cité de Tyr.
May MAKAREM | OLJ10/11/2017
Sur le site d'al-Madina, où s'étendent les ruines de la cité antique de Sour, la mission franco-libanaise creuse le sol depuis 2008. Les résultats accumulés complètent (ou presque) l'image de la zone des thermes antiques et font surgir les ruines d'une mosquée fatimide et d'un martyrium.
Les récentes découvertes dans la zone des bains ont mené à une compréhension nouvelle de son architecture. Ainsi la voie romaine à colonnade double, considérée comme une rue à portiques par l'émir Maurice Chéhab, est en réalité « une salle couverte à trois nefs, datant de l'époque byzantine », affirme le spécialiste du Moyen-Orient antique Pierre-Louis Gatier, qui pilote la mission. « Elle était revêtue de mosaïque et de dalles de marbre. Or on ne fait pas rouler des chars sur un tel dallage. D'autre part, aucune trace de trottoirs, ou de dispositifs d'évacuation des eaux de pluie n'ont été trouvés. La grande rue est en fait une salle couverte de 190 mètres de long. Dans son état actuel, elle date de la fin du IVe siècle et appartient au vaste complexe des bains protobyzantins. Elle faisait la jonction entre la partie sud des bains proprement dits et les palestres où l'on pratiquait la lutte, la gymnastique et d'autres exercices, et la partie nord des bains, où notre mission a mis au jour une piscine en plein air, des latrines et une série d'aménagements », souligne l'expert. Il ajoute que la salle avait les fonctions d'un frigidarium et d'un centre de sociabilité. C'était aussi un hall d'exposition de sculptures romaines.
(Pour mémoire : Un sanctuaire hellénistique découvert à Tyr, une première)
Selon M. Gatier, à cette époque byzantine, les Tyriens, se méfiant des chrétiens qui pourraient vouloir casser les bustes des empereurs et les statues des divinités qui décoraient la cité, les avaient rassemblés dans la salle pour les conserver en témoignage du glorieux passé de la ville. Ces mêmes statues ont été transportées au musée national par Maurice Chéhab.
Les excavations menées au pied de la piscine ont fait surgir les fondations et quelques murs en élévation d'un monument public, identifié comme un temple datant de l'ère phénicienne. De même, les archéologues ont retrouvé les soubassements du rempart phénicien, signalé autrefois par Maurice Chéhab.
Au nord des bains toujours, les opérations de fouilles ont permis d'exhumer trois quartiers d'habitations romaines et byzantines, offrant deux plans de maisons différents. Dans l'un des secteurs, elles sont construites assez serrées les unes contre les autres, et donnent directement accès sur de petites rues. Alors que dans les autres secteurs, apparemment plus luxueux, elles sont dotées d'une cour d'entrée qui les sépare de la rue.
Lieux « perturbés »
Les experts ont également dégagé un sanctuaire byzantin de type martyrium, c'est-à-dire à plan centré octogonal. M. Gatier fait observer que le bâtiment, bordé par quatre rues, a été « extrêmement abîmé » par les installations artisanales des Arabes et des Francs qui ont occupé tout le quartier. « Ils ont réutilisé les citernes des bains et en ont creusé d'autres un peu partout, perturbant de ce fait les lieux. » L'archéologue signale que c'est là, il y a quelques années, que ses collègues anglo-américains ont trouvé des ateliers de verriers datant du Moyen Âge.
La dernière découverte n'est pas des moindres : sous la cathédrale construite par les Francs, sont apparues « les traces du plan général d'une mosquée fatimide. « Le bâtiment des ablutions est toutefois très bien préservé, ainsi que les éléments décoratifs d'un portail, du même style que ceux des mosquées fatimides du Caire. »
Une chose est sûre, Tyr n'a pas fini de révéler ses secrets. Les fouilles interrompues pour l'hiver reprendront l'été prochain. En attendant, le ministère du Tourisme a intérêt à mettre à jour ses brochures et intégrer les nouvelles données historiques sur la cité de Tyr.
samedi 4 novembre 2017
جدول أعمال بطريرك الموارنة في أرض الحرَمَين
Envoyé de mon iPhone JTKhoreich