Citation du nom de Liban dans le livre
de l’Apocalypse de Jean : 1 : 12-19
« Et, m’étant retourné, je
vis sept chandeliers d’or, et au milieu des chandeliers quelqu’un de semblable
à un fils d’homme, vêtu d’une robe talaire et ceint à hauteur de poitrine d’une
ceinture d’or. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche,
comme la neige, et ses yeux comme une flamme de feu, et ses pieds semblables à du bronze purifié au Liban (« Chalkos-Libanos ») et sa voix était comme la voix des grandes
eaux. Et il avait dans sa main droite sept étoiles, et de sa bouche sortait une
épée acérée à double tranchant, et son visage était comme le soleil quand il
brille dans sa puissance. Et lorsque je le vis, je tombai à ses pieds comme
mort. Et il posa sur moi sa main droite, en disant : Sois sans
crainte ; Moi Je suis le Premier et le Dernier, et le Vivant. J’ai été
mort, et voici que je suis vivant pour les éternités d’éternités. Écris donc ce que tu as vu, ce qui est, et ce qui va arriver
dans la suite. »
(Apocalypse de Jean, 1 : 9-19
N.B.
Un des traducteurs de la Bible (Jean Gosjean),traduit par :
« Ses pieds sont pareils à du
bronze-de-Liban. »
Presque tous les traducteurs ont
omis ce mot,Chalkos-Libanos, d’une importance clé indicative du retour
du Christ à la fin des temps. …. Aussi tous les traducteurs dans toutes les
langues du monde, copiant l’un de l’autre, omettent irresponsablement ce mot
principal et écrivent : « Ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise. » Ainsi le mot « Liban » a sauté de presque tous les
textes connus.
Mais Jean à la fin de son Apocalypse dit : « Je le déclare à quiconque entend les paroles de
la prophétie de ce livre : Si quelqu’un retranche quelque chose des
paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de vie
et de la ville sainte, décrits dans ce livre. » En corrigeant ce mot, nous
aurions rendu à la fois au Liban ce qui est au Liban, et à Dieu ce qui est à
Dieu » (Apocalypse 22 :18-19)
Aurons -nous la joie de retrouver dans les nouvelles traductions du livre Johannique le correspondant du mot Liban omis du texte original ?