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jeudi 12 octobre 2017

» Prospection archéologique - Cana de Galilée »

Sur les pas du Christ 
Entre  Safed et Tyr
Extrait du rapport : » Prospection archéologique A Cana de Galilée »
Direction scientifique
Zeina Haddad
Avec la collaboration de Dana Nasr
Sous la supervision de Naji Karam
Archéologue de la Fondation
Beyrouth, 2016
{ En 1838 Robinson et Smith réalisent plusieurs voyages dans la région entre autre de Safed à Tyr, en passant par l’arrière-pays de Tyr. Ils décrivirent la province de Belad Besharah : elle inclut les 2 villages de Yaron et Maron et s’étend vers la plaine de Tyr ; du nord elle est bordée du Litany et englobe le district de Merj Ayun. C’est une large province avec son propre gouverneur résidant à Tyr malgré que sa capital est à Tebnin. Au sud de Belad Besharah se trouve le district d’el Jebel 101.
Robinson et Smith retracent la voie qu’ils ont prise de Safed à Tyr, proche de celle empruntée par le Père Durand :
De Safed ils passent près de Ain ez Zeitun (nord de Safed), Meiron, Kadita, Teitebeh, Jish102 ; de là une voie passe dans la plaine du côté ouest vers Tyr. Ils continuent leur chemin au-dessous de Jish du côté droit vers le Wady el Muaddamiyeh, puis Wady Hendaj ; ils passent dans un endroit élevé à mi-chemin entre Yaron et Maron (demi-heure de distance avec chaque village) où ils distinguèrent un grand sarcophage comparé à celui de Hiram et des restes de colonnes ayant appartenu à un petit temple et dont ces vestiges pourraient ainsi indiquer une possibilité d’une voie antique passant par ces lieux.
Ils parcoururent Wady Rumash et arrivèrent à Bint Jebeil où ils passèrent la nuit. Le lendemain ils traversent vers le nord-nord-ouest et passent tout près de Tireh puis ils continuent et voient le village de Haddata devant eux et à leur droite le château de Tebnin au-dessus du village du même nom, loin d’une demi-heure. De Haddata ils arrivent à Hadith (probablement le village de Haris actuel) puis ils traversent le Wady Ashour pour un bon moment ; ce Wady étroit est profond et sec. Ils continuent leur descente dans le Wady vers le nord-ouest d’où ils voient après une certaine distance le village d’el Beyad à leur gauche et el Mezraah à leur droite ; La vallée se dirige vers le nord en direction du Litany. De Wady Ashour ils montent vers les hauteurs cultivées puis recommencent la descente vers une autre vallée fertile103 qui se dirige vers le nord ; ils franchissent le lit de la rivière pour remonter de nouveau vers le large village de Kana sur les bords de la vallée
101ROBINSON et SMITH 1841, p.374.

102Gish est reconnue comme la ville de Giscala de Josèphe ; le voyageur médiéval juif, Benjamin de Tudèle, mentionne la distance d’un jour entre Jish et Tibnine.}

mercredi 7 octobre 2015

Fwd: Sur les chemins de la foi avec Jésus


Objet: Sur les chemins de la foi avec Jésus, Maghdouché, ND de Mantara,(Attente) 
Sur les chemins de la foi avec Jésus
Au Sud-Liban
Notre-Dame de Mantara (Maghdoucheh) - Sidon

Maghdouché , en araméen , veut dire la sacrée- sainte .Cette localité libanaise située à l'entrée sud de Sidon occupe,  avec son sanctuaire de Notre-Dame de Mantara , une place prépondérante parmi les lieux de passage de Jésus , quand il se déplaçait , accompagné par un groupe de ses apôtres et de sa Sainte Mère Marie , au cours des trois premières années de l'Évangélisation chrétienne . Sur l'ensemble des chemins du pays de Tyr ,de Sidon et de leurs alentours, l'étape de Mantara  qui veut dire "Attente", semble être l'un des sites les plus probables selon les différents récits , tant bibliques que relevant des traditions populaires et historiques.
Par conséquent, le sanctuaire "Notre de Dame de Mantara" , situé sur la colline de Maghdouché mérite toute l'attention religieuse et culturelle du patrimoine  , sur le double échelon  national et mondial, pour être à la pointe des sites des pèlerinages et du tourisme religieux en Terre Sainte, surtout en ce qui nous concerne, au Sud - Liban et dans l'Anti-Liban ( Hermon) .
Ce bref document tente de souligner les principes élémentaires  visant à confirmer l'historicité du site et à indiquer son importance, dans l'espoir que des recherches plus approfondies soient menées sur ce sujet ultérieurement par des spécialistes .
Parmi les plus importants de ces principes citons les suivants:
1. Le passage explicite de Jésus-Christ et de ses apôtres à Sidon est fondé dans les textes évangéliques eux-mêmes ; en témoignent les trois textes suivants au moins  : "Puis Il sortit des frontières de Tyr et de Sidon " (Marc 7/31 ) , et
" S'en retournant du pays de Tyr ,Il vint par Sidon ,vers la mer de Galilée ,en plein territoire de la Décapole .." ( Mathieu 15/21-29) . Selon les Actes des Apôtres Paul a passé plusieurs jours à Tyr ( Actes 7 /21) , mais aussi à Sidon quand il s'embarquait comme prisonnier vers l'Italie : " ...Nous touchâmes Sidon. Julius ( centurion ) fit preuve d'humanité à l'égard de Paul en lui permettant d'aller  trouver ses amis ( sidoniens chrétiens )  et de recevoir leurs bons offices "  ( Actes 27/3).
2, Une vieille tradition rapporte que  Sainte Melanie  du quatrième siècle (343-410) a vu  de ses propres yeux à Sidon la maison de la femme cananéenne ou syro-phénicienne  dont Jésus avait guéri la fille ( Mathieu 15/21 et sq ;Marc 7/24-30) .Laquelle maison a été transformée avec le temps en une église dédiée au saint martyr  Fawka  du début du quatrième siècle (303) -    (voir la vie du Christ au Liban, Boutros Daou, p 265)
3. Selon des traditions rapportées jusqu'à la fin des Croisades, les pèlerins ne cessaient de contempler la présence d'un rocher intégré dans l'abside d'une église honorée par des fidèles qui croyaient que Jésus avait l'habitude de s'y assoir chaque fois qu'il fréquentait les lieux. (Ibid., P. 268)

4. La transmission par un  grand nombre de pèlerins , après les croisades , de souvenirs et d' observations fréquentes, sur les vestiges ayant des rapports quelconques avec  la visite du Christ à Sidon. Au XVIIe siècle, l'un des pèlerins européens mentionne , suite à son passage à Sidon ,qu'il avait visité l'église dédiée à la femme cananéenne dans le quartier dit Kanan. Certains y lisent une déformation du nom de "Canaan", par référence au nom de la cananéenne de l'Evangile.
L'église en question se  situait à proximité du site qui devint plus tard l'église de Saint-Nicolas et la cathédrale de la communauté grecque catholique. (Cf: en arabe : le sanctuaire de Notre-Dame de Mantara, par l'archimandrite Saba Dagher, 13, p 2003). Cette église fait aujourd'hui un vif objet d'intérêt  pour le tourisme libanais et les  amis du patrimoine libanais .
5. Quant au site de Notre Dame de  Maghdouché  qui s'élève sur une colline à l'entrée sud de Sidon , il représente un magnifique sanctuaire commémorant  la visite de Jésus-Christ et de sa mère, la Vierge Marie à Sidon et ses environs. Le lieu est dit «Notre-Dame de Mantara," parce que la Vierge Marie et les femmes qui l'accompagnaient étaient " en attente" du retour de Jésus-Christ au sommet de la colline en dehors de la ville . La raison de cette attente revenait - dit-on - aux coutumes de l'époque qui interdisaient aux femmes juives de fréquenter les villes païennes.
La fondation du sanctuaire remonte initialement au IVe siècle, lors d'une visite faite par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin Ier, après une période de paix qui régnait dans l'empire grâce à la levée de la persécution des chrétiens en 313, conformément à l'Edit de Milan qui avait promulgué la liberté religieuse à tous les citoyens de l'Empire.

En ce temps-là , et suite aux vagues des persécutions , Sainte-Hélène a entrepris un certain nombre de projets de rénovation et de construction,concernant notamment  l'église de la Nativité , de la Résurrection en Terre Sainte, et d'autres lieux de culte dans la région, y compris la cathédrale de la ville de Tyr et l'église d' "Ebla" dans la vallée de la Bekaa, dédiée à Abel premier martyr de l'Humanité et préfigure du Christ.

6. Un haut lieu de pèlerinage biblique Investi de mission œcumėnique et inter-religieuse:
Entre la date de la visite de Sainte Hélène à la région de Saïda et la redécouverte ,par hasard ,par un berger , de l'icône de " La vierge et l'Enfant "dans la grotte de Maghdoucheh en 1721,  il y a environ 14 siècles. Il s'agit  là en effet d'une longue aventure divine lancée  avec la visite faite par Jésus-Christ ,sa mère, la Vierge Marie , et les premiers Apôtres à notre Sainte Terre Libanaise. Une aventure qui se poursuit à travers plusieurs signes, parmi lesquels le fait que la vocation du Liban comme "Pays Message " de coexistence et de dialogue œcuménique et intereligieux se fait  sentir et reconnaître de plus en plus par tous.
Dans cette perspective , la vocation du sanctuaire de Mantara tend à devenir non seulement un haut lieu national , de prière et de rencontre spirituelle comme celui de Harissa , mais aussi un centre de pèlerinage ayant une vocation œcuménique et internationale à la faveur des caractéristiques spécifiquement bibliques dont il est investi .
J.Khoteich
25/9/2015

Le Liban ,une valeur de civilisation précieuse ,
          témoignage de Sa Sainteté le Pape Jean Paul II :

" Il ( le Liban ) constitue une valeur de civilisation prėcieuse : que l'on songe ã ce que l'humanitē tout entière lui doit depuis la lointaine époque des Phéniciens .Sans oublier la rencontre des Religions ,le dialogue culturel Orient-Occident et les initiatives œucuméniques .La libertė ,la compréhension , l'hospitalitė et l'ouverture d'esprit ont été les valeurs sur lesquelles reposait le Liban d'hier . Elles sont ã la base du Liban de demain .Une société animėe par l'idéal démocratique pluraliste est un patrimoine précieux que personne ne peut se résoudre à voir disparaitre ."-  Lettre à tous les libanais  Du Vatican , le 1/5/1984 
Jtk

mardi 15 septembre 2015

Jésus et surtout Marie, très présents au pays du Cèdre - Nour FARRA HADDAD - L'Orient-Le Jour

Jésus et surtout Marie, très présents au pays du Cèdre - Nour FARRA HADDAD - L'Orient-Le Jour

Jésus et surtout Marie, très présents au pays du Cèdre - Nour FARRA HADDAD

Victor Sauma nous a quittés il y a trois ans maintenant. Après avoir travaillé de longues années à la Compagnie française du canal de Suez, il rentre au Liban après la nationalisation du canal pour travailler au port de Beyrouth. À côté de cette occupation, il consacre la majorité de son temps libre à découvrir le Liban, ses villages et ses belles montagnes. Il va créer un club de randonnées, « Le Liban à petits pas », qui jusqu'à nos jours, continue de regrouper des amoureux de la nature tous les dimanches. Il s'investira aussi énormément auprès des jeunes, notamment en créant l'Interclub des jeunes avec le Mouvement social et par la suite en s'investissant avec les scouts du Liban. Ce beau parcours le mènera à publier deux livres de son vivant : Sur les pas des saints au Liban (éd. FMA, 1994, 2 volumes) et Le Liban à petits pas (éd. Les scouts du Liban, 2003, 2 volumes).
Son dernier ouvrage, Sur les pas de la Vierge et du Christ au Liban, a été publié à titre posthume et est disponible en librairie. Tout comme pour le livre Sur les pas des saints au Liban, l'auteur n'y revendique aucune prétention savante. Victor Sauma se décrit lui-même comme un amoureux de la nature et du Liban, désireux de partager ses découvertes. Il s'attaque à une tâche colossale et surtout inédite : établir l'inventaire de tous les lieux de culte chrétiens au Liban.
Sauma commence par répertorier l'ensemble des lieux de culte au Liban et arrive à un constat qui est le suivant : la Vierge détient trois fois plus de lieux de culte que tous les autres saints réunis. D'autre part, en ajoutant ceux du Christ à ceux des saints, on obtient un nombre de lieux de culte inférieur aux deux tiers de ceux de la Vierge. Au total, nous comptons 1 441 lieux de culte. L'auteur choisit alors de commencer par un ouvrage sur les saints au Liban pour dans un deuxième temps publier un ouvrage sur les lieux de culte dédiés à la Vierge et au Christ. Ce chantier prendra des années de travail et de patience, mais le résultat est là.
Comme l'explique le père Thom Sicking (s.j.) dans son introduction, l'auteur fait référence à différentes sources qui n'ont pas toutes la même valeur. Des informations passionnantes sur les nomenclatures, les légendes, les fêtes et célébrations, les détails architecturaux des bâtisses qui leur sont consacrés, les congrégations qui gèrent ces lieux seront reprises dans cet ouvrage. Mais les informations sur ces lieux saints peuvent être de nature très différentes et très inégales allant d'une description détaillée de plusieurs pages à quelques lignes succinctes. Il est donc évident que c'est un chantier qui gagnerait encore à être complété.
Les couvertures des deux tomes du livre Sur les pas de la Vierge et du Christ au Liban ont été illustrées comme celles de l'ouvrage sur les saints par des icônes de style moderne par l'artiste Mouna Bassili Sehnaoui.
Cet ouvrage respecte aussi la même présentation que le livre sur les saints en énumérant les différentes nomenclatures par ordre alphabétique et les lieux de culte qui leur sont rattachés par caza. On sera surpris de découvrir les innombrables nomenclatures de la Vierge Marie. Il y a les Saydé (Notre-Dame) qui portent le nom d'un village comme N-D de Bechouat, de Maïfouq, de Miziara..., celles qui évoquent un épisode, une apparition ou une légende précise (N-D de l'Attente, des Lumières, de Lourdes...), celles qui font allusion à une de ses vertus (N-D des Mamelles, des Yeux...), celles qui évoquent les milieux naturels où elles se trouvent (N-D de la Mer, des Champs, des Vents, du Chêne...), ou évoquent un monument (N-D de la Forteresse, de la Tour...) et encore beaucoup d'autres.
Saydé Mariam, « Oum el-kol » (mère de tous), la Sainte Vierge occupe une place unique aussi bien dans la religion chrétienne que dans la religion musulmane. Les sociétés méditerranéennes lui consacrent une dévotion spéciale. Plus de 900 lieux de culte lui sont dédiés aujourd'hui au Liban sans compter les milliers de petits oratoires dispersés à travers le paysage urbain et rural.
Le titre du livre de Sauma est porteur d'un message important... La Vierge et le Christ ont vraiment foulé le sol libanais... Le Liban est cité dans la Bible plus de 96 fois. On y apprend que le Christ lui-même fut son premier évangélisateur. Les Écritures saintes nous révèlent que Jésus entreprit plus d'une prédication et opéra plus d'un miracle entre Tyr et Sidon (Math 14,21-28 et Marc 7, 24-31...). Le premier fut celui de l'eau transformée en vin à Cana. Jésus aurait loué la foi des habitants de Tyr et de Sidon. La Vierge était très probablement toujours auprès du Christ dans ses périples dans la région.
Tourisme religieux
Le travail de l'auteur s'inscrit aussi parfaitement dans une perspective générale de développement des pèlerinages et du tourisme religieux au Liban. Depuis plusieurs années déjà, le ministère du Tourisme ainsi que de nombreuses initiatives privées tentent de développer ce type de tourisme et d'établir des inventaires de lieux de culte. Des brochures et des films ont été produits, et un projet de collecte de données sur 180 lieux de culte chrétiens au Liban a été entrepris avec l'Association pour le développement des pèlerinages et du tourisme religieux rattachée au patriarcat maronite. En outre, le Centre pour le développement du tourisme culturel et religieux rattaché au bureau du chef du gouvernment (CRT) créé en novembre 2010 a pour objectif de développer le tourisme religieux au Liban en mettant en valeur ses saints et ses lieux de culte.
Sur les pas de la Vierge et du Christ au Liban présente un inventaire qui se veut exhaustif de l'ensemble des lieux de culte dédiés à la Vierge et au Christ au Liban, de la plus petite église de montagne aux plus hauts lieux de pèlerinage libanais. Près de 863 lieux de culte dédiés à la Vierge et 276 au Christ à travers tout le Liban y sont mentionnés. Nous sommes donc loin des inventaires modestes des autres ouvrages et initiatives.
Mais la géographie sacrée au Liban est en évolution constante et de nouveaux sanctuaires, des monastères et des oratoires sont construits chaque année.
Ce livre s'adresse à un public très large, du plus savant au plus amateur. Il peut intéresser la communauté scientifique en servant d'outil de travail aux chercheurs en sciences sociales, religieuses et politiques, en anthropologie, en archéologie... Mais c'est aussi un ouvrage qui s'adresse au grand public, facile à lire et à consulter.

Un répertoire exhaustif
De nombreuses initiatives ont tenté de répertorier des lieux de culte saints, mais celle de Sauma reste la plus exhaustive. Déjà le père Joseph Goudard dans son livre de référence, repris par le père Jalabert, La Sainte Vierge au Liban (3e édition, Dar el-Machrek, 1993) décrit avec beaucoup de détails les plus importants sanctuaires mariaux au Liban sans prétendre les répertorier dans leur ensemble.
Certaines universités se sont lancées dans des projets de cartographie sacrée au Liban. La faculté des sciences religieuses (FSR) de l'Université Saint-Joseph (USJ) avait commencé un projet sur un atlas des lieux de culte au Liban qui a abouti finalement à la création d'un laboratoire de recherches sur le fait religieux, le CEDIFR (Centre d'études et d'interprétation du fait religieux). Celui-ci publie une collection intitulée : Espaces religieux du Liban.
L'Université de Balamand avec le projet ARPOA vise l'édification d'un atlas des lieux de culte de l'Église grecque-orthodoxe d'Antioche. Son objet est de présenter un inventaire exhaustif et raisonné de ce patrimoine architectural composé de plus de 1 000 monuments : cathédrales, monastères, églises paroissiales, conventuelles et funéraires, chapelles de dévotion, oratoires et pélerinages. Cet atlas compte de nombreux lieux de culte orthodoxe dédiés à la Sainte Vierge et certains au Christ.
En ce qui concerne particulièrement les lieux de culte dédiés à la Vierge au Liban, la NDU (Notre Dame University) a publié une collection encyclopédique sur les lieux de culte mariaux au Liban en anglais, The Virgin Mary in Lebanon. Cet ouvrage de référence présente avec beaucoup de détails et d'informations des centaines de lieux de culte mariaux au Liban.


Jtk