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jeudi 10 décembre 2009


http://hilda-barhoum.blogspot.com/2008/01/martiano-roncaglia-un-libanais-de-coeur.html 

Sur les pas de Jésus, le Messie, en Phénicie/Liban est l’ouvrage de maturité de Martiniano Roncaglia. Il y a mis l’essentiel d’une recherche entamée au début des années 80, à la demande du patriarche grec-catholique Maximos V Hakim. 
Pour l’orientaliste, aucun doute n’est permis : le Liban fait partie de la Terre sainte, tout comme la Palestine biblique. Les pieds du messie ont foulé la Galilée des nations (Jalil al-Oumam).
Il s’est rendu à Tyr et Sidon, à Sarepta, à Cana, ainsi que dans la Césarée de Philippe, aux pieds du mont Hermon, où pour la première fois l’apôtre Pierre a proclamé sa foi dans l’origine divine de son maître. 
Dans son ouvrage, publié en 2004 en anglais par les soins d’un éditeur qui sera également son ami, l’amiral de marine libanais Samir el-Khadem, directeur de l’Institut arabe d’études orientales et occidentales, Roncaglia déploie une érudition à toute épreuve, au service d’une tradition qui, depuis Eusèbe de Césarée, premier historien de l’Église, situe le village de Cana-de-Galilée, où Jésus a accompli son premier miracle, le changement de l’eau en vin, au voisinage de Tyr.
Roncaglia, du reste, n’était pas le premier à localiser au Liban le village de Cana cité par l’Évangile de saint Jean. Des historiens et des hommes de lettres l’avaient également affirmé, en se basant sur les mêmes documents (Youssef Hourani, Nina Jidéjian). Mais il a eu le mérite d’en faire l’exposé exhaustif et fouillé, ce qui rend plus difficile la réfutation des faits et vérités qu’il établit.

L’Église au Liban n’a pas encore pris l’entière mesure de l’importance de cette découverte historique. Elle continue de douter de la véracité des faits, les attribuant à quelque exaltation poétique infondée, en référence notamment au poète Saïd Akl, fervent partisan de la localisation en terre libanaise du Cana biblique.Pourtant, les faits sont là, clairs comme le jour, malgré les affirmations contraires, toutes hypothétiques, des archéologues et historiens étrangers, renforcées par d’évidents intérêts économiques et touristiques totalement étrangers à la vérité

Malgré un méritoire aménagement du site de Cana, le ministère du Tourisme pourrait, lui aussi, tirer de meilleures conséquences de ce que la présence de Cana au Liban signifie, sur le plan touristique et culturel. Mais sur ce dernier point, sa responsabilité n’est pas en cause, puisque la frilosité de l’Église du Liban empêche toujours ce site d’être ouvertement et généreusement mis en évidence, en particulier sur le plan religieux. Là, plus qu’ailleurs, la convivialité devrait jouer à plein pour que le village mixte de Cana soit désigné comme haut lieu de pèlerinage chrétien, aussi bien pour nous autres Libanais que pour le tourisme religieux étranger. Tout le monde y gagnerait, que ce soit sur un tableau ou sur l’autre. Il faut dire aussi que la guerre et les crises politiques au Liban n’ont pas beaucoup aidé à l’épanouissement du tourisme, qui est aujourd’hui, d’un certain point de vue, une industrie comme une autre.

Archéologie évangélique
Le cas de Cana, pour être emblématique du sous-développement culturel et archéologique dont souffre le Liban, n’est pas le seul fait à pouvoir être cité. 

L’ouvrage de Roncaglia nous introduit à une véritable « archéologie évangélique » et nous révèle des pans entiers de présence culturelle « phénicienne » indissociablement mêlée au quotidien du Jésus de l’histoire. Grâce à cette archéologie, nous suivons Marie et Joseph, puis Jésus adulte, dans le temple ; nous voyons le Christ déposant dans le trésor de la monnaie frappée à Tyr ; on nous rappelle que ce sont des artisans envoyés par le roi Hiram de Tyr qui ont construit le temple, avec du bois de cèdre généreusement acheminé du Mont-Liban ; on suit encore Jésus marchant sur les routes de Tyr, Sarepta (Sarafand) – où le prophète Élie l’avait précédé – et Sidon, gravissant la haute montagne de l’Hermon, site probable de la Transfiguration, fuyant les questions pièges des Pharisiens et prenant quelques jours de repos dans la Césarée de Philippe, non loin de Banias, des sources du Jourdain… et de Marjeyoun, où une Église dédiée à saint Pierre commémore toujours sa confession de foi.

L’ouvrage de Roncaglia est disponible dans ses versions anglaise et arabe, mais pas encore, malheureusement, en version française. 

Doit-on y voir un signe des temps ? Espérons que non, car il est souhaitable que cet ouvrage tout à fait abordable par l’amateur éclairé soit mis à la disposition des lecteurs francophones le plus vite possible.
 
Article de Fadi Noun " L'Orient Le Jour"

samedi 5 septembre 2009

Le Christ Notre Espérance: LE LIBAN DANS LA BIBLE

Le Christ Notre Espérance: LE LIBAN DANS LA BIBLE:

"Car les violences contre le Liban retomberont sur toi, Et les ravages des bêtes t'effraieront, Parce que tu as répandu le sang des hommes, Et commis des violences dans le pays, Contre la ville et tous ses habitants."

vendredi 4 septembre 2009

sur les pas de Jesus au Liban

Le Christ Notre Espérance: MARTIANO RONCAGLIA UN LIBANAIS DE COEUR:

"Sur les pas de Jésus, le Messie, en Phénicie/Liban est l’ouvrage de maturité de Martiniano Roncaglia. Il y a mis l’essentiel d’une recherche entamée au début des années 80, à la demande du patriarche grec-catholique Maximos V Hakim.
Pour l’orientaliste, aucun doute n’est permis : le Liban fait partie de la Terre sainte, tout comme la Palestine biblique. Les pieds du messie ont foulé la Galilée des nations (Jalil al-Oumam).
Il s’est rendu à Cana,Tyr, Sarepta, Sidon ainsi que dans la Césarée de Philippe, aux pieds du mont Hermon, où pour la première fois l’apôtre Pierre a proclamé sa foi dans l’origine divine de son maître.
Dans son ouvrage, publié en 2004 en anglais par les soins d’un éditeur qui sera également son ami, l’amiral de marine libanais Samir el-Khadem, directeur de l’Institut arabe d’études orientales et occidentales, Roncaglia déploie une érudition à toute épreuve, au service d’une tradition qui, depuis Eusèbe de Césarée, premier historien de l’Église, situe le village de Cana-de-Galilée, où Jésus a accompli son premier miracle, le changement de l’eau en vin, au voisinage de Tyr."

Bienvenue sur le site de L'ANTIQUITE GRECO-LATINE

Bienvenue sur le site de L'ANTIQUITE GRECO-LATINE

Flavius Josèphe, table des matières

Flavius Josèphe, table des matières

mercredi 2 septembre 2009

Aïn Ebel Festival 2009

Aïn Ebel Festival 2009: "Aïn Ebel an I, c'est bien parti. Objectifs pleinement atteints par l'association AWFA des jeunes de cette localité du Liban-Sud pour l'événement qu'ils ont organisé avec le soutien de la municipalité et des Amis de Sourat.

Une belle soirée, certes, sur la place de l'église, mais le défi relevé est la réponse à leur appel. En plus du public venu nombreux des alentours, plus de 200 Beyrouthins ont bravé le long trajet pour signifier à ces jeunes leur solidarité, le soutien à leur cause et l'engagement à leurs côtés dans ce cheminement identitaire, leur volonté de se développer et de s'enraciner à leur terre.
Un franc succès que cette première rencontre, mettant du baume au cœur de ces jeunes qui se sont démenés pour que chaque personne qui a fait le déplacement soit heureuse d'être là, de découvrir ce village du sud au passé chargé et à l'histoire intéressante. Et personne n'a été déçu. Une histoire racontée au public par Joseph Khoreich dans une conférence intitulée « Mémoire d'un village ». Un village frontalier au passé glorieux et au présent difficile dont la riche histoire remonte à des millénaires, comme en témoignent les nombreux vestiges archéologiques. Terre foulée par le Christ et ses disciples, la région a occupé les devants de la scène politique et économique jusqu'à un passé récent et qui a offert au Grand Liban ses premiers martyrs en 1920."

lundi 24 août 2009

Hauteurs du Golan, Basan de la Bible (BibléLieux.com)

Hauteurs du Golan, Basan de la Bible (BibléLieux.com): "Le mont Hermon se situe à l'extrémité sud de la chaîne de montagne de l'anti-Liban. Le plus haut sommet du Mt. Hermon atteint 2800 m (9230 pieds). En Israël, le plus haut point se situe à Mitzpe Shelagim, 'l'observatoire de neige,' à 2210 m (7295 pieds). L'emplacement est connu dans la Bible sous le nom de Ba’al Hermon, Sirion, et Sion. Psaume 133 donne une image de l'agréabilité et de la productivité de cette montagne. Il parle de l'abondance d'eau, d'un endroit recevant beaucoup de pluie. L'Hermon, en moyenne, reçoit 24 cm de précipitation par année (elle en reçu 40 cm en 1992). Il est fort possible que la transfiguration ait eu lieu quelque part sur les pentes du Mont Hermon, Jésus et ses disciples ayant été précédemment aperçus dans 'la région de Césarée de Philippe.' Césarée de Philippe se situant à la base du Mont Hermon, ce dernier pourrait ainsi être la montagne où Jésus emmena ses disciples."

lundi 3 août 2009

René Naba. Le Liban en voie de désertification

René Naba. Le Liban en voie de désertification:
"Le légendaire pays des Cèdres tant célébré par la Bible serait frappé de désertification, aussi surprenant que cela puisse paraître. Les organisations écologiques libanaises (1) estiment même que la côte d’alerte a d’ores et déjà été atteinte et si la situation venait à persister, le Liban aura entièrement perdu ses forêts d’ici 15 à 20 ans. Selon leurs estimations, 35 pour cent du territoire national était couvert de forêts en 1965, contre 13 pour cent en 2007, soit une perte de près des deux tiers de la zone forestière en 42 ans"

jeudi 23 juillet 2009

Frères Des Ecoles Chrétiennes - Proche-Orient

Frères Des Ecoles Chrétiennes - Proche-Orient: "Liban : découvertes et inventions' : nouvel ouvrage du F. Ildefonse-Sarkis
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F. Ildefonse Sarkis vient de publier un nouvel ouvrage dans la série de ses oeuvres historiques sur le Liban, déjà riche de plus d'une dizaine de titres.
'Le Liban : découvertes et inventions', en édition cartonnée de 272 pages, illustrée par des planches et des photos en couleurs. L'auteur y reprend une série de 'génies' issus de la terre libanaise, depuis l'Antiquité à nos jours, et qui ont brillé dans le monde entier de la Grèce antique à la NASA actuelle.
F. Ildefonse a déjà à son actif de nombreux ouvrages sur le Liban, 'son rôle civilisateur', 'dans les écrits des Anciens', 'et les Sarcophages', '...Ancien : pouvoir et peuple', ainsi que sur les Phéniciens 'panorama d'une civilisation', '...et leur empire', Tyr, Byblos, Sidon, sans compter les ouvrages lasalliens dont le dernier en date est 'St Jean-Baptiste de la Salle pédagogue'."

mercredi 1 juillet 2009

Liban, terre biblique de la Bien-Aimée

Liban, terre biblique de la Bien-Aimée: "Marie et le Liban, deux termes que la Bible a déjà unis...



Avant d’être chrétien, le Liban est le seul pays au monde qui ait mérité par sa beauté et ses charmes de servir de terme de comparaison à la plus belle des créatures : une fois chrétien, il est devenu terre d’élection de la Vierge et le culte tout particulier qu’il n’a jamais cessé de lui offrir a été pour sa foi la meilleure sauvegarde."

jeudi 18 juin 2009

STAR OF LEBANON - Liban Bible

STAR OF LEBANON - Liban Bible: "La Phénicie était une étroite bande de terre du littoral méditerranéen resserrée entre la mer à l’ouest et les sommets du Liban à l’est, limitée au sud par le mont Carmel et au nord par la région d’Ougarit, aujourd’hui Ras Shamra, au nord de Lattaquié. Elle fut occupée de 3000 à 1300 ans av. J.-C. par des populations cananéennes, que les Grecs appelèrent Phéniciens, sans doute à cause de la pourpre (phoinos signifiant rouge sang), production caractéristique du pays, une teinture extraite du mollusque Murex trunculus. Une autre interprétation prétend que le nom Phénicien dériverait du grec phoinix, le palmier. Dans le temps ancien les Israélites appelaient la Phénicie « Canaan », qui pouvait désigner commerçants (És. 23. 1-12). La Bible mentionne que Canaan est le fils de Cham et qu’il engendra Sidon son premier né (Ge. 9. 6, 15)."

mardi 17 mars 2009

Le Liban: Notre-Dame de Mantara ou de l’Attente, Maghdouché

Le Liban: Notre-Dame de Mantara ou de l’Attente, Maghdouché: "Le sanctuaire de Notre-Dame de Mantara prend ses sources dans les Evangiles: Saint-Marc cite dans le chapitre 7, verset 24, que le Christ, ayant quitté Génésareth en Palestine, se rendit dans la région de Tyr et de Sidon (l’actuelle Saida) pour prêcher la Bonne nouvelle et guérir les malades. C’est à Sidon q’il guérit la fille de la Cananéenne"

lundi 2 mars 2009

- Lebanon news - www.elnashra.com

- Lebanon news - www.elnashra.com: "J'écris ces mots pour nos enfants et pour tous les Libanais, ici au Liban et dans le « monde Liban ». Je veux les leur offrir comme une parcelle de vérité qui, pour moi, est devenue limpide comme un cristal. Car il me semble que Dieu décida un jour de se choisir un pays sur la Terre, et qu'il souhaita"

jeudi 19 février 2009

Dossier : le Liban dans la Bible - Un écho d'Israël: "Dans la Bible, le Liban et en particulier ses cèdres symbolisent la beauté, l’abondance, la gloire, la force et l’élévation. Différents textes dénoncent le sentiment de supériorité qui émane du Liban et le conduit à la fierté et à l’arrogance, qui finalement, précipite sa chute. Ses richesses accumulées par son commerce seront réduites à néant (prophéties sur Tyr et Sidon, Éz. 27). La gloire du Liban sera abaissée jusqu’à terre, comme ses arbres, symboles de grandeur, de puissance et de magnificence (És. 10. 34 ; Jé. 22. 6)"

jeudi 12 février 2009

الموسوعة المسيحية العربية الإلكترونية

الموسوعة المسيحية العربية الإلكترون

vendredi 6 février 2009

How it all began - A concise history of Lebanon

How it all began - A concise history of Lebanon
To create a country is one thing; to create a nationality is another. In the wake of the first world war, which ended with the destruction of the German, Austro-Hungarian, Russian and Ottoman empires, it was possible for the victorious Allies to redraw the political map of much of the world. In Europe, Germany and Austria-Hungary, defeated in the war, re-emerged as the German, Austrian and Hungarian republics. Meanwhile, the Bolshevik revolution was already beginning to transform the Russian empire into the Union of Soviet Socialist Republics. From European territories formerly German, Austro-Hungarian or Russian, new European states emerged. The overseas colonies of Germany, in Africa and elsewhere, were divided between Britain and France as mandates under licence from the newly organized League of Nations.

Lebanon - Places

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The Cedars - Al Arz - Conde -Lebanon

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The Cedars - Al Arz - Lebanon

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