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mercredi 21 janvier 2009

Phoenicia, Phoenician Christians, The First Converts Outside the Jews

Phoenicia, Phoenician Christians, The First Converts Outside the Jews: "'Then Jesus went thence, and departed into the coasts of Tyre and Sidon. 22. And, behold, a woman of Canaan came out of the same coasts, and cried unto him, saying, Have mercy on me, O Lord, thou son of David; my daughter is grievously vexed with a devil. 23. But he answered her not a word. And his disciples came and besought him, saying, Send her away; for she crieth after us. 24. But he answered and said, I am not sent but unto the lost sheep of the house of Israel. 25. Then came she and worshipped him, saying, Lord, help me. 26. But he answered and said, It is not meet to take the children's bread, and to cast it to dogs. 27. And she said, Truth, Lord: yet the dogs eat of the crumbs which fall from their masters' table. 28. Then Jesus answered and said unto her, O woman, great is thy faith: be it unto thee even as thou wilt. And her daughter was made whole from that very hour. 29. And Jesus departed from thence, and came nigh unto the sea of Galilee; and went up into a mountain, and sat down there.'"

mardi 20 janvier 2009

Quand Dieu créa le monde

Quand Dieu créa le monde
Quand Dieu créa le monde, la terre et l'univers,
Il voulut faire un lieu bien extraordinaire :Une mer, un climat, un soleil éclatant,
Il fit si bien les choses qu'Il créa le Liban.
Mais quand Il aperçut un peu autour de lui
L'état de ses voisins l'Égypte et la Syrie,
J'ai été trop injuste, dit-Il, faut y remédier,
Et pour faire l'équilibre, Il créa le libanais.

تاريخ لبنان عملاق ألتواريخ الفصل الثّامن عشر - Lebanon news - www

تاريخ لبنان عملاق ألتواريخ الفصل الثّامن عشر - Lebanon news - www: "لقد جمَعَ الأب مارتن ثمّ الأب لامنْس وغيرُهما مراجعَ جمّة تؤكِّدُ مُكوثَ الرّسلِ أو مرورَهم في لبنان-فينيقيا، مُستَشهِدين بالبابا كْليمان، تلميذِ مار بطرس وخليفتِه، وبالسِّنكْسارات، الّتي تَروي سِيَرَ القدّيسين، وبمؤرّخين عِدّة."

تاريخ لبنان عملاق ألتواريخ الفصل السابع عشر - Lebanon news - www.elnas

تاريخ لبنان عملاق ألتواريخ الفصل السابع عشر - Lebanon news - www.elnas تَهمُّنا علاقةُ يسوع بـ لبنان-فينيقيا. لنتذكّرْ قولَنا بأنّ تور الجبيليّ إدريس القرآن، وهِرمس-تْريسمِجيسْت الدُّرزيّة والنُّصَيريّة، هو، خاصّةً، اللُّوغوس المُمهِّدُ لـ المسيح، بما أنّه بَشّرَ بـ اللّه-الثّالوث: آب، وابن وروح قدس، إله محبّة، وبخُلودِ النّفس، ووَضعَ الوصايا العشَرَ الأُولى، ومقدِّمات الأسرارِ والطُّقوسِ والأعيادِ، وتنبّأ بمجيءِ مُخلّصٍ هو "ابن اللّه وإنسانٌ معًا" ("كورپّوس هرميتيكوم"، 1 و13)... وبهذا يكون المُمهِّدَ الأوّلَ والأكبرَ لـ المسيح الّذي "أتى ليُتمِّمَ لا ليَنقُض" (متّى 17:5).

jeudi 15 janvier 2009

جريدة النهار

جريدة النهارلغيابه الرايات السود! ولصورته المروج الخضر! ولقامته في العين رجل يختزن رجالاً! لكأن الكبير منصور الرحباني رحل على غفلة ممن احترفوا التمتع بطلاّته المكهربة: ألم يكن من حجر صوان ذاك الوجه المصقول في معجم الاساطير؟ وكنت ممن يحبون التعامل معه انه كأيقونة المعابد الاثرية، هنا ليبقى، ولنستمر نحن خارج الاماكن التي كان يواعدنا فيها وبعيداً من غبار الازمنة وثقوب العمر، في زيارته مرة كل عام كما هذا العام في كازينو لبنان حيث روى لنا بلباقته المحببة ومن خلال خرافة يبرع في ابتكار ركائزها "عودة الفينيق" التي تتظاهر في حكاية الماضي لتلفتنا كلبنانيين وعرب الى واقعنا ومستقبلنا.فجأة مشهد يكتمل فيّ: عاصي ومنصور معاً تحت عنوان "الاخوين رحباني"، تبعه شعور قوي باستعادة الاسطورة كل وهجها الحارق. فلبسٌ تلاشى وطروحات عمّن الافضل بينهما تبخّرت، لديّ على الاقل وموقتاً هنا. وبدا منصور لي بكل مسيرته مضغوطاً على موهبة فوّارة، مصادرا دوماً لفضاء مجازفاته ذات العصب الرحباني الصافي، بريء كمن يغرف من مقلع خام، وجريء كمن صُنع في معدن المؤسسين، ومتعدد كمن صوته يختزل شعباً و"يؤسطر" حلماً. وديع ذلك المنصور من الفنون، والمفتن عفوياً لمعظم من قارب اعماله اما مشاركة واما تذوّقاً، والمستوعب بطيبة الكبار وكرم ذوي العطاء الخصب، لكل من ادعى لرأيه ما لم يعترف به للآخرين. قلت: عاد منصور الى عاصي وعاصي الى منصور، وقدر كأنه أشعل نجمه.لا أبالغ وهذا ليس رثاء، قلمي كصوت منصور وعاصي ان قالا شعراً او تمشهدا صوَراً وألحاناً واغنيات، قلمي يرسل تحية لفنانين جعلا مع من ذابوا فيهما، الزمن الذي عبروا ايامه لبنانياً بامتياز وعربياً كما لم يألفه عالمنا العربي وانسانياً كما تُلوّن الهديات وتُركّز الانتماءات وتُنبى ذاكرة المجتمعات المخلخلة. وفيرز "الصوت المودي" الذي أُعطي له التزيّن بتلاوين لبنان بحراً وسهلاً وجبلاً. غريب هذا الثلاثي، عاصي، منصور وفيروز، فيكفي ان يطل احدهم هنا او هناك او هنالك ليحضر الاثنان الآخران من غير ان ينجح اي كان في زعزعة الصورة، حتى وان هم غرقوا في الرمال.لم اقع هنا في كلام من نوع: لا لم يمت منصور الرحباني، فامثاله لا يموتون. لكنني على يقين على طريقتي انه كلما فتحت صباحاً احدى الاذاعات اللبنانية وتصاعدت اصوات فيروز او نصري شمس الدين او هدى حداد او اي لحن من ألحان العروض المسرحية التي قالت لبنان بين 1957 ("ايام الحصاد" بعلبك) و2008 ("عودة الفينيق"، كازينو لبنان)، تكون في مخيلتي وجه من الذاكرة لرجل صنع لنا فضاءً يفرحنا، يطيّرنا، يأخذنا الى أبعد وأعمق مما حولنا، وكمن يولد من جديد مع يوم جديد...

Mansour Rahbani donne dernier acte de vie


L'article de Edgar DAVIDIAN dans l'ORIENT -LE JOUR du 14-12009

Les feux de la rampe, entre musique et verbe, l’ont rendu célèbre. Illustre représentant et symbole de la culture libanaise, Mansour Rahbani, fin poète et musicien inspiré, a donné en ce 13 janvier 2009 le dernier acte de sa vie. Son héritage est impérissable. Les foules, d’Antélias à tous les points cardinaux de la planète, vous le diront.Le public guettait ses moindres mots. La presse le redoutait ou s’en amusait. Des mots qui oscillent entre ironie, piques politiques, traits caustiques, mais aussi douceur et esprit du lyrisme du monde du Parnasse. Adulé et respecté des gens de la scène (beaucoup de vedettes lui doivent leur carrière), aussi bien que des spectateurs et de la presse, Mansour Rahbani, patriarche « verdien » en sa demeure d’Antélias, en imposait avec sa voix grave, sa gouaille entre ton populaire et érudition, son allure majestueuse, ses insoupçonnables virées du côté de la tendresse, sa mansuétude et surtout ce grain de poésie qui éclate brusquement au milieu de ses phrases comme un marron sur le feu… Terrassé par la mort à l’âge de quatre-vingt-trois ans, son verbe et sa musique n’en sont pas moins vivants. Bien vivants dans l’écrin d’un «libretto», d’une plaquette de poésie, les lignes d’une partition, les répliques d’un dialogue, le satin d’une ritournelle, la trame d’une histoire, les contours de ses personnages…Flash-back sur un profil, une carrière et un parcours exceptionnels où l’opérette libanaise a conquis, en fanfare et soyeux rubans de mélodies, dans une jouissive alliance de la musique et du verbe, les frontières du monde…Né à Antélias en 1925, Mansour Rahbani fit son éducation à l’École des sœurs de Ibrin. Entre les brumes de Bickfaya et les odoriférantes pinèdes du Mont-Liban s’est écoulée une enfance ponctuée sans doute par le rêve, mais marquée surtout par la mort un peu prématurée de son père. À dix-sept ans, l’adolescent affronte déjà les affres de la vie et ses lourdes responsabilités.Mais c’était sans compter le secours inestimable de la musique, qui garde pour tout humain de larges zones de bonheur, d’évasion…C’est avec le père Paul Achkar que le jeune homme fait ses premières gammes entre harmonies, contrepointes, orchestration et analyse. Neuf ans d’études sous la férule de Bertrand Robillard complètent cette formation de musicien. Très vite, la collaboration avec son frère Assi s’impose comme une finalité naturelle.C’est l’heureuse époque des premières émissions à la radio en 1945. Émissions charriant déjà un esprit neuf, assimilant culture traditionnelle libanaise et ouverture sur le monde de la musique occidentale. À titre de mémoire, le premier sketch s’intitulait Sabeh et Makhoul.Mais le meilleur était encore à venir avec le mariage de Assi en 1955 avec Nouhad Haddad, devenue la grande diva Fayrouz, astre de la chanson du monde arabe. Dès lors, le « trio », plébiscité par le public et gagnant tous les galons de ses faveurs, va voler de succès en succès… Le temps des récoltes est donné à Baalbeck en 1957. Tous les festivaliers, ravis et charmés par cette délicate essence entre verbe vaporeux et musique impalpable, parlent de triomphe, de nouveauté, d’un esprit unique…Plus de quarante œuvres de scènes, opérettes qui tranchent sur le monde (et mode) occidental et s’en singularisent, vont bouleverser les données des feux de la rampe en Orient.Du Piccadilly de Beyrouth à toutes les capitales du monde (Londres, Paris, Rio de Janeiro, Sao Paolo, Buenos Aires), en passant par les mégalopoles arabes (Amman, Le Caire, Damas, Bagdad, Koweït) et tout l’arrière-pays, ainsi que les pays d’Afrique du Nord, le « rêve rahbanien » voyage en toute liberté et séduction et fait des ravages et des tabacs…Conciliation d’un héritage musical mêlant le patrimoine arabe, l’art islamique, les valeurs maronites et les richesses byzantines, le monde « rahbanien » puise à plus d’une source pour ériger et cimenter ce monde de la scène bâti sur la dignité, la délicatesse, la vérité, l’amour de la terre et de l’humanité. Une trentaine de pièces en collaboration bicéphale tout en touchant au cinéma (Le vendeur de bague, Safarbarlek, La fille du gardien), sans parler des émissions de radio, voilà la création des frères Rahbani. Mais le destin a de ces détours…Assi parti en 1980, Mansour est resté seul sous la flaque de lumière…Acte jamais tiré, rideau jamais baissé, plume jamais à sec, partition aux notes de plus en plus serrées…Voilà l’auteur-compositeur, en impénitent et infatigable solitaire, à nouveau dans le dédale des productions, de plus en plus fastueuses, ambitieuses, grandioses (scéniquement), avec le clan Rahbani nouvelle vague et génération (Oussama, Marwan, Ghadi) en oubliant un peu les limites de ce village libanais mythique dans sa douceur, son hospitalité, son cadre verdoyant, ses personnages souriants ou malicieux et ses nuits étoilées avec un croissant de lune argenté… Mansour Rahbani, fidèle à sa conception de promouvoir surtout la culture arabe, a taillé dès lors davantage dans l’histoire… Plus d’une dizaine de productions, dont la vie de Gibran, al-Moutannabi, Socrate…Sans oublier son dada de toujours, lui qui a le sens du religieux, la musique sacrée, avec Et il ressuscita le troisième jour et surtout cette magnifique Sainte Messe donnée en grande piété et pompe en l’an 2000 à l’église Saint-Élie à Antélias.Controversé par certains ténors de la presse sur la qualité de son écriture, vilipendé par certains intellectuels «chichiteux » sur sa teneur de certaines facilités, boudé par un public parfois snob ou simplement versé en « musical » (quoique la comparaison ne s’impose guère) sous prétexte qu’il voyage beaucoup, le spectacle « rahbanien» n’en est pas moins d’une immense popularité. Et âprement défendu par ses nombreux et innombrables fans…Le mot, avec toutes ses finesses, son non-dit, ses zones d’ombre et de lumière, a toujours eu les faveurs de Mansour Rahbani. Ce n’est guère hasard si on l’a croisé en devanture des librairies deux plaquettes de poésie intitulées : Seul je voyage en roi et Moi, l’autre étrange humain.Aujourd’hui, sa pièce Le retour du Phénix est encore à l’affiche. Ce Phenix qui renaît de ses cendres, incontournable mythe d’un Liban sans cesse détruit et reconstruit…Le poète a parlé. Son testament est clair : priorité à la vie, à l’espoir, à la bonté, à l’amour, à la fidélité à une terre. Cette terre qui a pour nom Liban et dont l’auteur-compositeur de Saif 840 a placé le rayonnement au firmament de la gloire.

samedi 10 janvier 2009

Cèdres du Liban, forêt primitive Bible textes anciens, Byblos Hiram, Phéniciens, empereur Hadrien

Cèdres du Liban, forêt primitive Bible textes anciens, Byblos Hiram, Phéniciens, empereur Hadrien: "Souvent mentionné dans la Bible et dans d'autres textes anciens, le Cèdre a joué un rôle important dans la culture, le commerce et les rites de l'Orient ancien. Son exploitation intensive débuta au 3ème millénaire av. J.C., lorsque des cités de la côte, comme Byblos, ont commencé à en faire le commerce avec l'Egypte. Au cours des siècles, son bois faisait partie du tribut imposé aux cités cananéo-phéniciennes par les Assyriens, les Babyloniens ou les Perses. Les Phéniciens eux mêmes s'en servaient largement pour la construction de leurs flottes. Salomon en commanda en grande quantité au roi Hiram de Tyr pour la construction de son temple. Sennachérib, roi d'Assyrie, déclarait même être monté jusqu'aux recoins les plus lointains du Liban et d'y avoir coupé ses plus grands cèdres et ses plus beaux cyprès."

mardi 6 janvier 2009

Convent of Our Lady - Seidnaya (Saidnaya), Syria

A l'attention de notre cher ami Carlos RaiMundo ,portuguais, qui mene une etude sur la Vierge Marie dans la region du Moyen Orient,nous attirons l'attention sur ces liens qui peuvent contenir des elements utiles a sa recherche :

http://www.saidnaya.com/

Convent of Our Lady - Seidnaya (Saidnaya), Syria

http://www.balamand.edu.lb/english/ARPOA.asp?id=7977&fid=270

http://www.saidnayanet.com/en/pictures.htm

http://homepage.mac.com/hobwahid/Syria_Photos/PhotoAlbum102.html


http://www.travel-images.com/syria18.html




Voir aussi sur Notre Dame de l'Attente - Mantara,Maghdouché-Liban-Sud:

http://libanius.blogspot.com/search?updated-max=2008-08-22T23%3A41%3A00%2B03%3A00&max-results=20